Se valoriser, avoir une bonne image de soi, connaitre sa valeur, ces trois points sont les garants de l’épanouissement. Le contexte débute d’abord par la relation que la personne a avec elle-même. Puis, cette conception s’étend et produit ses effets sur les autres stades. Psychologiquement, l’estime de soi est un enjeu entre l’image que l’individu a de lui-même et de celle qu’il veut avoir. A partit du moment où vous vous faites confiance, c’est plus facile aux autres de le faire à leur tour.
Les effets de la carence en estime de soi sur la santé
Avoir une estime de soi convenable permet à l’organisme de mieux fonctionner. Si une personne n’a pas confiance en elle, pression après pression, les manifestations sont dangereuses. Des problèmes de sommeils (insomnie), des troubles alimentaires (boulimie, anorexie) peuvent subvenir. Ces derniers provoquent une instabilité nocive pour la santé. Il est fort possible aussi que le sujet ait des crises d’angoisses, de panique et peut très vite tomber dans la dépression.
Les sentiments à engager
Ce sont les sentiments d’importance, de sympathie et de compétence. Le premier permet de savoir si la personne s’estime comme étant importante, qui mérite qu’on lui accorde de la considération. Le second consiste à déterminer si l’individu a de l’estimation envers lui-même, s’il s’apprécie. L a troisième tend à savoir si le sujet est au courant de ses compétences. En d’autres termes, s’il se sent capable par rapport diverses circonstances.
Déficience dangereuse
Avoir confiance en sa personne est un travail individuel. On nait avec nos sens et nos membres, ce qui n’est pas le cas pour la confiance en soi. Cela fait partie des personnalités que chacun s’attribue au fil des éducations ou des vécus qui ont constitué sa vie. La carence chez une personne est visible lors des moments tels qu’un entretien d’embauche, une présentation de mémoire, ….. Quand cette manque de confiance s’empare de la personne, elle perd se dévalorise et sa capacité chute dangereusement.
Reconstruire la confiance en soi
Il faut en premier lieu accepter ses imperfections et ses propres faiblesses. C’est important de ne pas avoir honte de son talon d’Achille car tout le monde en a, c’est du concret! Les renier provoque une sensation d’insécurité en soi et vis-à-vis des autres. D’autant plus, accepter ses impotences signifie s’accepter. Et la confiance en soi est favorisée quand un individu s’assume tel qu’il soit.
Mettre ses attributs sur le devant
En plus d’avoir des défauts, nous avons des qualités. Et nos vertus sont nos plus grandes armes. C’est sur ces dernières que nous devons nous focaliser. Puis, les particularités sont propres à chacun. Le fait de reconnaitre ses aptitudes fait place à une assurance qui provoque une valorisation. Et cette valeur qu’on nous connait nous permettrait d’avoir une position optimale. Les situations seront ainsi tournées à nos avantages.
Survalorisation de soi
On l’appelle aussi surestime de soi. C’est le mauvais coté de l’estime de soi. Si certaines personnes ont du mal à s’estimer, d’autres s’aiment un beaucoup trop. Cette facette excessive provoque un complexe de supériorité qui éloigne de plus en plus sa victime de l’épanouissement. L’humilité est un pion très important. A défaut l’arrogance, l’orgueil, et bien d’autres comportements néfastes prennent le dessus. Par conséquent, les relations seraient encore plus lourdes, l’ambiance beaucoup plus pesante.